Il y a certaines choses qu’il faut radicalement savoir quand on est étudiant envisageant d’occuper un logement. Cela ne fait pas exception par rapport aux pays d’origines. Que ce soit les natifs du pays ou les étudiants venant du quatre coins du monde, il existe les mêmes règles pour la location des habitations. Or le tarif diffère par rapport à celui des autres statuts.

La mutuelle habitation des étudiants : les règles

  • En premier lieu, une assurance étudiant est tarifée au prix très bas pour que les bénéficiaires puissent en assumer le coût. Il convient de présenter une carte étudiante valide ou en cour de validité. Les compagnies d’assurances sont tenues d’appliquer ce règle jusqu’au 26è années de l’assuré. Or certaines mutuelles préfèrent s’en tenir à cette réduction des coûts sans condition.
  • Seule la garantie relative aux risques locatifs est irréfutable pour une habitation en location vide. Elle concerne la protection des sinistres suite à un incendie, inondation, vol, explosion. Il en est alors exclus la couverture responsabilité civile, les catastrophes, la défense pénale, les dégâts causés aux matériels informatiques…
  • Toutefois, lorsque vous décidez de louer un appartement ou une chambre vide, là c’est autre chose. En fait, il est dans l’intérêt de l’étudiant de se souscrire à un mutuel multirisque. Consultez cette page pour trouver la bonne compagnie.

Les étudiant logés dans une résidence

Les logements étudiants sont les fruits d’une aide venant du centre régionale des œuvres universitaires et scolaires. Ils sont en générale non loués mais doit obligatoirement être assuré par ses occupants. Cette règle s’applique pour tout résidence meublé ou non.

  • Comme le droit à l’assurance location, les maisons en location meublée n’est pas soumises à une garantie sauf si c’est une résidence appartenant au CROU (il s’agit des chambre en cité U). Seulement l’étudiant est tenu par un engagement définit par une responsabilité civile.
  • Particulièrement une maison mise à disposition des parents, laquelle est occupée gratuitement par l’étudiant ne demande aucune obligation d’adhésion à une assurance. Pareil pour celui qui est hébergé par un propriétaire. Dans les deux cas, il est fortement conseillé de souscrire à un minimum garantie qui est celle de la responsabilité civile.

Les absences longue durée de l’occupant étudiant

Une durée précise a été règlementé à l’issu des conditions inhérentes à une assurance habitation. Soit une durée d’absence jusqu’à 90 jours couvert par le mutuel en cas de sinistre. L’apprenant est toutefois contraint de dépasser ce délai faute de sa situation scolaire. C’est pour cette raison qu’une exception à la règle habituelle a été mise en place. D’où la protection de l’assuré au-delà de la durée habituelle en cas de stage ou échange effectué à l’étranger, en cas d’apprentissage au sein d’une entreprise éloignée du demeure. C’est aussi le cas durant les périodes de vacance.

Les devoirs du propriétaire

Le propriétaire oblige, selon la loi, une présentation d’une assurance habitation venant de ses locataires étudiants (quel que soit le montant de leur revenu). Il a alors le devoir de retenir une copie de l’attestation de la garantie. Ce devoir sera accompli dès lors l’entrée de l’apprenant dans son logement. Il est une mission du bailleur de s’en servir en cas de sinistre survenu durant le contrat bail locatif.

Sinon, ce propriétaire peut aussi se souscrire lui-même mais pour le compte de ses locataires. Il va ensuite inclure le coût de la mutuelle dans le loyer. Les colocataires eux-aussi sont obligés de lui payer pour régler le montant de la prime.

En gros, tout étudiant décidant d’occuper une habitation que ce soit en location ou colocation ont le devoir d’adhérer à un mutuel peu importe la nature de sa domiciliation. Tout ça pour éviter les frais qui s’avèrent lourds à porter en cas de sinistre.